Olga a 8 ans. Elle a déjà connu six déménagements. Le dernier l’a conduite dans une maison biscornue, flanquée de multiples tourelles. Elle entreprend d’arracher le papier peint de sa nouvelle chambre, pour la rafraîchir, et découvre une toute petite porte fermée à clé. De l’autre côté, quelqu’un cherche à communiquer. Qui est-ce ?
Un autre mystère survient : les parents d’Olga, partis se promener dans le bois voisin, ne donnent plus signe de vie.
« Olga n’entend rien. Ce handicap va jouer un rôle déterminant dans l’intrigue (je ne dis pas pourquoi, évidemment). Pourtant, Laure l’évoque toujours avec beaucoup de pudeur, sans insister … À aucun moment, ce n’est le sujet du roman. » ( P’tits cannibales lecteurs)